Le 14 mai 2009 Daniel MATOKOT, Cesbc JOHNNY CHIEN MÉCHANT OU LE FAR-WEST À LA CONGOLAISE Johnny Chien Méchant roman d'Émanuel DONGALA dresse un tableau du parcours d’un enfant soldat et de tous les drames des jeunes congolais gangrenés par la brutale apparition de la violence et des cruautés des années 1990. Il reconstitue des scènes de violence normalement interdites aux moins de 16 ans dont les auteurs avaient eux-mêmes cet âge... Cliquez ici pour lire la suite L'affiche du film Johnny Mad Dog tiré du roman de Dongala est ici |
Daniel MATOKOT L’ÉCOLE DE PEINTURE DE POTO-POTO (BRAZZAVILLE) En 1950, Pierre Lods, ancien militaire français, décide de s’installer à Brazzaville (Congo) comme peintre. En réaction contre les pionniers de la peinture africaine qu’il trouve trop occidentalisés, et séduit par le beauté de la création africaine pure et la richesse des œuvres artistiques des "autochtones", il crée l’atelier de Poto-poto, qui deviendra en 1952 l’Ecole de peinture de Poto-poto, avec pour premiers élèves ses domestiques Félix Ossiali et Nicolas Ondongo. Pour accéder à l'article, cliquez ici |
| Daniel MATOKOT : la passion de l'écriture Par Aimé D. MIANZENZA Après son bac littéraire, il s’inscrit à la faculté des Lettres de l’Université de Brazzaville (Congo) où il découvre la Littérature Négro-africaine Journaliste et rédacteur du magazine culturel congolais La Cigale, il publie les romans-feuilleton « La saga du Tanawa maudit » et « La petite histoire du Walla ». Amateur de Comics Marvel, il écrit aussi les scénarios des deux premières bandes dessinées de science-fiction du Congo Brazzaville, « Zonta, le Négus des Tropiques » (dessins d’Aubin Mafoua) et « Les Afri-men » (dessins de Silas Bakary Gando). Lire la suite ici |
ARTICLES DANS DES PUBLICATIONS COLLECTIVES |
" La musique congolaise de la fin du vingtième siècle : du soukouss à l'hélico ", (pp. 219-243). in ETSIO, Edouard, (sous la direction de), Congo 2000. État des lieux, Paris, L'Harmattan, 250 pages. |
| | PUBLICATIONS 2011 : DÉJÀ PARUES |
La curée des Mindjulas. Les enfants de papa (Roman), Éditions L'Harmattan, juin 2011. Les Mindjula sont enfin là ! Cette confrérie ultra-secrète du pays Kongo, crainte pour ses pouvoirs mystiques fabuleux, ses rites de profanation de tombes et d'exhumation de cadavres, a su garder l'anonymat : on ne trouve aucune mention d'elle dans les oeuvres de fiction des écrivains congolais. Cette lacune est comblée grâce à cette oeuvre. ISBN : 978-2-296-55453-5 • juin 2011 • 102 pages |
Le rire carnavalesque dans les romans de Sony Labou TANSI, Préface d'Augustin de SOUZA, (Essai), Éditions L'Harmattan, mars 2011. L'expression "littérature carnavalisée" désigne des oeuvres littéraires dont l'esthétique est fondée sur le rire ambivalent des festivités. Cette littérature de fête utilise la langue, les formes et les images spécifiques aux festivités populaires. Dans la présente étude, Daniel Matokot démontre comment, par la folie du langage, avec ses "mocheries" et ses "tropicalités", mais aussi par l'ironie, l'humour et la satire, l'écrivain congolais Sony Labou Tansi (1947-1995) organise ses récits en fêtes carnavalesques et recrée ainsi la démesure de la fête appelée carnaval. ISBN : 978-2-296-54359-1 • mars 2011 • 118 pages |
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