Finance

Cesbc

 


 

 

TRANSFERT D'ARGENT

 

OBSERVATOIRE

DES COÛTS D'ENVOI D'ARGENT

L'Agence Française de Développement (AFD) a lancé à titre expérimental, un site de comparaison des coûts d'envoi d'argent. La phase test de cet outil concerne cinq pays : Comores, Mali, Maroc, Sénégal, Tunisie. 

Pour plus d'information voir:

L'Observatoire des transferts financiers

 

transferts financiers des migrants congolais DE BELGIQUE VERS LA RDC

Une étude de Nadine MUTETA (2004) menée dans le cadre du programme VALEPRO d’OCIV / Migration et Développement avec le soutien de la Commission européenne et la Direction Générale de la Coopération au Développement belge essaie de faire le point sur les transferts financiers des migrants congolais de la Belgique vers la République Démocratique du Congo.

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L'étude de N. MUTETA est disponible ici

 

 

Les transferts des migrants

LA SITUATION DANS LA Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC).

Selon le Rapport Zone Franc 2005 (Banque de France), "Sur la base des statistiques de balances des paiements des pays membres de la CEMAC, il ressort que le total des transferts de fonds des migrants (transferts reçus et envoyés) a atteint près de 610 milliards de FCFA en 2005, contre 370 milliards en 2001. Les transactions intra-CEMAC représentent 10 % environ du montant global en 2005.

Il convient de noter que le solde net des opérations est demeuré déficitaire pour l’ensemble de la CEMAC, représentant 0,6 % environ du PIB global en 2005, contre 0,7 % en 2001 (4,2 % du PIB non pétrolier en 2005 et 3,2 % du PIB non pétrolier 2001)."

La situation est variable d’un pays à l’autre, en fonction  de la présence de communautés de migrants plus ou moins importantes qui effectuent des transferts hors CEMAC. Alors que le Cameroun dégage des soldes excédentaires, pour la RCA les transactions s’équilibrent. Les quatre autres pays (Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad) sont déficitaires avec des déficits plus importants pour le Gabon et le Congo.

Les montants rapportés dans le document sont  tirés des balances de paiements. On sait que celles-ci n'enregistrent que transactions ayant transité par les sociétés de transfert de fonds. Il apparaît que les réceptions de fonds en provenance des pays hors CEMAC se seraient élevées à plus de 180 milliards de FCFA en 2005, les envois hors CEMAC atteignant plus de 350 milliards de FCFA. Ces montants ne tiennent, bien entendu, pas compte des fonds transitant par des canaux informels pour lesquels il n’existe pas d’estimations disponibles.

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Source : Banque de France, (2005), Rapport Zone Franc, pp. 104-105.

 

FRANCE.

COMPTE ET Livret d’épargne pour le codéveloppement

 

Les migrants résidant en France ont maintenant la possibilité d'ouvrir un compte épargne co-développement en bénéficiant d'une exonération fiscale. Lancée le 22 février 2007, ce dispositif est accessible à toute personne étrangère vivant en France et prenant part à une activité de développement dans son pays d'origine. Avec un plafond de 50 000 euros, le compte a une durée de vie de 1 à 6 ans.

Par ailleurs, dans le cadre de la nouvelle loi relative à "la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile" un autre produit a été mis en en place : le Livret d’épargne codéveloppement. Les deux dispositifs poursuivent le même objectif : financer le développement avec l'argent des migrants.

Le 11 septembre 2007, la Caisse d'Épargne était le premier établissement financier à signer la convention avec l'État lui donnant le droit de commercialiser ce produit.

Selon le Directeur de la Caisse d'Épargne, "Le compte est une réponse qui va dans le sens des problématiques rencontrées par les migrants et participant au développement dans leur pays".

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Plus aller plus loin sur le sujet voir :

Co-développement

Rapport du Sénat français

 

26 août 2009

Aimé D. MIANZENZA

Vers une monnaie unique africaine ?

Lire la suite ici

 

Dimanche 21 mars 2010

Aimé D. MIANZENZA

Dette illégitime : la leçon islandaise

Voir l'article ici

 

Le 24 mars 2009

Noël KODIA

 

Le franc Cfa :

Instrument de domination économique ?

L'article est disponible ci-dessous.

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- Format PDF

 

Banque

Le 30 novembre 2008

Jean-Placide KEZA

Les enjeux économiques de la bancarisation de masse en Afrique subsaharienne

 

L'Afrique subsaharienne connaît depuis quelques années une croissance économique soutenue, avec des taux qui dépassent 5% par an. Toutefois, ces performances ne doivent pas faire oublier que la croissante reste encore volatile et que sa poursuite se heurte à un obstacle fondamental : la fragilité des secteurs financiers.

En effet, la pérennisation de la croissance économique ne peut se faire sans une infrastructure financière large sur laquelle elle peu s'appuyer. Des secteurs financiers solides, profonds et efficients sont indispensables pour l'Afrique subsaharienne pour améliorer le climat des affaires et créer les conditions dont l'économie a besoin pour renforcer la croissance.

Cliquez ICI pour lire la suite de l'article

 

Aimé D. Mianzenza

L’AFRIQUE FACE AUX NOUVEAUX PARADIGMES DU FINANCEMENT INTERNATIONAL DU DEVELOPPEMENT

Lire la suite

 

 

Jean BAKOUMA,

DÉVALUATION DU FRANC CFA ET EXPORTATIONS DES BOIS DES PAYS AFRICAINS DE LA ZONE FRANC

La dévaluation du franc CFA a été adoptée pour restaurer la compétitivité des pays de la zone franc. Elle s'est imposée comme condition de l'aide des organisations internationales. Elle a révélé les limites du soutien économique et financier apporté par la France. Elle a consacré l'emprise des institutions de Bretton-Woods sur la politique économique suivie par ces pays. Quel a été l'impact de la dévaluation sur le quantité de sciages et de grumes exportées par ces pays ? Quel rapprochement peut-on faire entre les pays exportateurs de bois hors zone franc et les pays de la zone franc ? Quelle est leur nouvelle spécialisation en matière de bois, et quelle est la nouvelle recomposition du marché mondial des bois ? L'étude cherche à répondre à ces questions en utilisant une méthodologie axée sur la décomposition des effets prix et quantité.

Pour lire l'article à partir de Revue Région et   Développement, cliquez ici

e la suite

Jean BAKOUMA

Unité et diversité des mécanismes de financement de la politique forestière dans le bassin du Congo

Pour accèder à l'article, cliquez ici

 

Aimé D. MIANZENZA

L’Afrique face aux nouveaux paradigmes du financement international du développement

Les efforts financiers pour impulser la croissance économique de l’extérieur n’ont pas manqué en Afrique depuis quatre décennies, en particulier en Afrique subsaharienne. Les sommes versées au titre de l’aide au développement ont été considérables même si les flux n’ont pas été à la hauteur des engagements pris par les pays du Nord, notamment depuis le sommet de Cancun en 1981. Mais les résultats obtenus sur le plan de la croissance économique, du développement humain et démocratique, et de l’intégration du continent à l’économie mondiale sont dans l’ensemble médiocres.

Un sentiment de rejet se fait jour dans les opinions publiques et les médias des principaux pays donateurs lassés de voir l’aide internationale « partir en fumée ». On assiste à une résurgence du « cartiérisme ». Face à cet échec, les principaux bailleurs de fond cherchent maintenant à définir des nouveaux paradigmes pour un financement international destiné à soutenir un développement économiquement efficace, écologiquement et socialement soutenable, ainsi que démocratiquement fondé. L’Afrique peut-elle relever le défi ?

Lire la suite ici

 

 

 

Michel MILANDOU

DOIT-ON DIFFÉRENCIER LA POLITIQUE MONÉTAIRE SELON LA SITUATION SPÉCIFIQUE À CHAQUE ÉCONOMIE NATIONALE ?

L'article est au format pdf.

Pour lire l'article, cliquez sur le bouton ci-dessous.

Différencier la politique monétaire ... ?

 

 

14 mai 2009

 Karima BELKACEM,

Du désendettement au développement :

 accroître les capacités de remboursement de la dette par le commerce

L'article est disponible ci-dessous Ici (format PDF)

 


 

CRISE FINANCIÈRE

 

COLLOQUE

Crise financière internationale :

Quelles conséquences pour l'Afrique ?

Cliquez ICI pour voir l'affiche du colloque

Téléchargez le programme définitif ICI


Modérateur :

  • Maximilien Macodou NDIAYE

Intervenants

  • Jean BAKOUMA

  • Gildas BONDI

  • Rémi BORDAZ

  • Désiré MANDILOU

  • Germain Lambert MATOKO

  • Aimé D. MIANZENZA

  • Souleymane Astou DIAGNE


 

 

Colloque de Paris : le compte-rendu

Le samedi 13 décembre 2008, la Bourse du travail de Paris a été l'hôte d'un colloque sur la crise financière internationale organisée par le Cesbc.

L'événement qui a réuni un peu plus de soixante personnes dont des étudiants, des économistes spécialistes du développement et de la finance a permis de débattre des conséquences de la crise financière pour l'Afrique. 

La suite est ICI

 

Jean Bakouma

La gestion responsable

des ressources forestières face à la crise

 

Cliquez ICI pour accéder à la synthèse de la communication u format PDF

 

Germain Lambert MATOKO,

Quelles conséquences pour l'Afrique ?

Tout se passe comme si la crise financière actuelle n’est que la préoccupation des pays industrialisés et des pays émergents. Et, pourtant rien ne semble indiquer que les pays africains seront à l’abri des effets dévastateurs de cette crise que certains n’hésitent pas à qualifier de crise la plus grave après celle des années 30.

Avec le plan de sauvetage présenté par Henry Paulson et Ben Bernanke, on était tenté de penser que la crise était derrière nous dès lors que les places financières mondiales ont réagi positivement  le lendemain après l’annonce du dimanche 21 septembre 2008 par les autorités monétaires. Très vite, cette euphorie boursière est retombée parce que des zones d’ombre de ce plan sont encore trop nombreux au point où les marchés financiers indiquent, en retour, une défiance vis-à-vis d’un tel plan.

En substance, le problème fondamental qui se pose au capitalisme financier n’est certainement pas celui d’une simple défaillance des marchés financiers qui ne comporterait pas une éthique. Bien plus, c’est la césure entre la sphère de production de richesses et la sphère financière.

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